Ce que je recherchais dans la peinture de ce paysage était le mariage de l’eau et du feu. Certains jours la surface de l’eau d’un lac est telle qu’elle reflète parfaitement la lumière solaire avec quelques scintillements qui sont autant de petits soleils miroitants. Les impressionnistes et néo-impressionnistes ont beaucoup joué avec ces éléments et l’œil se réjouit toujours de ces reflets mobiles. Pour le peintre c’est extrêmement jouissif de faire chanter la gamme des tons chauds, en particulier les ocres dont je me procure les pigments dans le Lubéron et que je mélange à différents mediums. Ici c’est une ancienne gouache que j’ai revisitée en numérique, elle garde les mêmes couleurs que l’original
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Reproductions, Canvas prints, Metal Print